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9eme arrondissement - Page 21

  • Municipales 2008 : à l'UMP

    Une fois n’est pas coutume mais comme Paris Neuvième était invité, nous sommes allés à la conférence de presse de présentation des 20 têtes de liste UMP pour les 20 arrondissements de Paris. Cela se passait à la permanence de Françoise de Panafieu, rue Saint Antoine à deux pas de l’Hôtel de Ville. Seul absent, Pierre Lellouche ! Mais bien présents les "stars" UMP Rachida Dati, Claude Goasguen, Jean Tibéri et surtout Jean Marie Cavada, la vedette du jour ! Sans oublier, bien sûr, la tête de liste pour le 9ème, Delphine Burkli. Toutes les infos concernant les têtes de listes sont sur panafieu2008.fr.
     
     

  • Municipales 2008 : chez Les Verts

    Nicole Azzaro est tête de liste des Verts dans notre arrondissement pour les élections municipales de mars 2008. Elle fait partie de l’équipe des 20 qui accompagnent Denis Baupin dans sa tentative de conquête de la Mairie de Paris.

    Cette productrice de films – c’est son métier – présente un parcours atypique. Arrivée il y a 30 ans de son Maroc natal, elle a suivi des études de psychologie à Toulouse où elle a décroché un DESS. Après avoir exercé quelques années, la naissance de ses deux filles lui donne l’opportunité de travailler avec son mari dans le monde de la production de films et la voilà qui vient s’installer à Paris et plus particulièrement dans le 9ème arrondissement. Mais Nicole Azzaro est aussi Conseillère de Paris, Vice-présidente du groupe Les Verts, Conseillère d’arrondissement avec la délégation de l’aménagement de l’espace public, à l’écologie urbaine. Elle est aussi l’élue référent pour le quartier Clichy-Trinité. Bref, c’est une femme très occupée qui ne compte pas son temps si on y ajoute ses actions militantes au sein de son parti qu’elle a rejoint en 1999.

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  • Municipales 2008 : au MoDem

    M. de Sarnez 21-11-2007
    Vidéo envoyée par ParisNeuvieme

    Dans le cadre de ses visites aux « 80 quartiers de Paris », Marielle de Sarnez, candidate du Mouvement Démocrate (MoDem) à la Mairie de Paris était dans le 9ème ce mercredi 21 novembre.

    C’est en Vélib’, accompagnée de Michel Bulté, Conseiller de Paris, transfuge de l’UMP passé au MoDem, qu’elle arrive en bas de la rue des Martyrs pour une prise de contact avec les militants MoDem locaux dont Jean François Polo, ex-candidat suppléant aux dernières législatives.

    La petite troupe se dirige alors vers le centre Valeyre, puis le Conservatoire en arpentant la rue de Rochechouart. Pas d’autres objectifs à ses visites qu’une prise de contacts et une écoute des Parisiens pour Marielle de Sarnez. De son programme, on ne saura rien. De ses listes non plus. Des accords éventuels avec d’autres partis, pas plus. Les citoyens devrons attendre mais reconnaissons que le MoDem n’est pas le seul dans cette situation.

    La politique serait-elle devenue un produit de consommation courant, objet d’actions marketing ciblées dans l’instant provoquant un achat compulsif ? Les électeurs se satisfont-ils de cette situation ? Voire.

  • Retour sur les deux roues

    Le sujet a été abordé en début de mois et le collectif d’animation du quartier Trudaine Rochechouart se penche actuellement dessus. Une de ses membres nous a fait parvenir l’article suivant :

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    Des vélos et des motos partout !

    Cela ne vous aura pas échappé : les cycles, motorisés ou non, occupent l’espace à Paris ! Plus encore ces jours-ci à cause des perturbations dans les transports en commun. L’absence de bus et de métro a poussé le Parisien, même le moins sportif, a regardé de plus près ces bornes gris métallisé que l’on trouve un peu partout dans Paris depuis l’été. Il s’agit des Vélib’, bien sûr. Certains sont même allés fouiller dans la cave pour sortir la petite reine de leurs jeunes années. Car l’émulation, cela existe. Tout seul sur un vélo, en milieu de la circulation automobile moyenne de Paris, cela prend parfois les allures d’une aventure plus risquée que la traversée du Ténéré. Mais, quand on est dix, devant la première rangée de voitures, à attendre que le feu passe au vert, c’est différent. On se sent légitime ! On se sent plus fort.  Et en ce moment, plus astucieux même, en traversant le pont de la Concorde, sur la file de droite, alors que les automobilistes pestent derrière leur volant… sans avancer.

    Il y a toutefois un revers à cette médaille. Tous les cyclistes et tous les motards ne sont pas également respectueux du code de la route et leurs comportements s’échelonnent entre la délicatesse polie et courtoise (je vous en prie, mais passez-donc, Madame…) et la plus brutale sauvagerie (va donc, hé, « nom d’oiseau » !). Les passants s’en émeuvent plus que les automobilistes. Peut-être parce qu’ils se sentent plus fragiles sur leur trottoir, pris d’assaut par les moto- et cyclistes indélicats.

    Quoi qu’il en soit, les protestations fusent. Il n’est pas une réunion de conseil de quartier où l’on ne dénonce le comportement « intoooooolérable » des motos et des scooters, moins souvent des vélos, soyons honnêtes.

    Nous avons donc pensé au sein du collectif de Trudaine Rochechouart à mettre à l’ordre du jour de notre prochain conseil : le code de la rue.

    Qu’est-ce ? Direz-vous.

    Venez ! Vous le saurez !

    Non, je plaisante. Bien sûr, si vous venez, vous en saurez plus, car il faut bien préserver un peu de suspens.

    Quelques mots simplement ici, pour vous donner envie d’en savoir davantage.

     

    C’est l’observation des difficultés à partager l’espace public dans les zones urbaines qui est à l’origine de ce code de la rue, mis en application notamment en Belgique.

    C’est aussi le souci d’inverser les statistiques sur les accidents corporels, dont le nombre était très élevé chez nos voisins, il y a encore peu.

    Enfin, une communication intelligente de grande envergure pour entamer une modification durable du comportement des personnes qui utilisent l’espace public.

    Un principe de vulnérabilité est apparu qui définit des priorités différentes de celles du code de la route, élaboré, lui, pour permettre aux automobiles d’utiliser les voies carrossables selon un ordre cohérent, qui préviennent les accidents.

     

    Si ce sujet vous intéresse, des rapports de qualité sont en ligne.

    Voyez par exemple le rapport de Brigitte Le Brethon, députée Maire de Rouen : Propositions pour encourager le développement de la bicyclette en France.

    Des détails techniques sur les dispositifs en faveur d’un meilleur partage de l’espace public se trouvent sur le site du Club des Villes Cyclables à la rubrique Documentation>Les fiches CERTU/CLUB « Le vélo, un enjeu pour la ville ».

     

    Le conseil de quartier Trudaine Rochechouart se tiendra le 27 novembre 2007, dans l’école maternelle 68-70 rue de Rochechouart, à 19h30.
  • Municipales 2008 : pour l’UMP, c’est Delphine !

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    C’est l’œil gourmand et avec un sourire légèrement esquissé que Delphine Burkli nous reçoit à la permanence UMP de Pierre Lellouche, au coin des rues Rodier et de Maubeuge. Bien que l’annonce officielle ne soit pas encore faite, Delphine est tête de liste UMP pour la conquête – reconquête – du 9ème arrondissement de Paris. Comment cette jeune femme célibataire de 33 ans en est elle arrivée là ?

    « Burkli, c’est suisse » dit elle avec une pointe de fierté, faisant référence aux origines de son grand-père. C’est assez jeune que le virus de la politique l’a prise. Le même grand-père, syndicaliste, l’a sensibilisée aux autres, à la chose publique. Ses études universitaires à Paris IV (histoire-géographie) l’ont certainement confortée dans ses goûts et dès 1992 – année de ses 18 ans – la voilà inscrite au RPR avec en tête les idées de Philippe Seguin et François Fillon qui avaient à l’époque la réputation d’être des « gaullistes sociaux », en quelque sorte l’aile gauche du parti. Divers concours de circonstances lui ont fait rencontrer Pierre Lellouche et dès lors son sort est scellé. En 1997, la voilà attachée parlementaire du député et elle gravit tous les échelons pour en être aujourd’hui la Directrice de cabinet, tout en se faisant élire par les militants en avril 2006 déléguée UMP pour la 4ème circonscription de Paris (8ème & 9ème arrondissements). « J’ai le culte du travail » confie-t-elle, « et je suis pragmatique. Il faut être sur le terrain, travailler, monter les échelons petit à petit ».

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